Dans les guides touristiques, on en parle comme de la "prairie des élans", un lieu où, soi-disant, on peut voir des élans le matin et en fin d'après-midi. Connaissant la timidité de nos cervidés québécois, je m'attendais tout au plus à voir une belle photo sur une pancarte d'information. Or, pas du tout: dimanche après-midi, un jeune élan qui ne semble pas trop farouche; une heure plus tard, peu avant d'arriver à Orick, un adulte en train de brouter à une vingtaine de mètres; et le lendemain matin, entre Orick et Trinidad, tout un troupeau, dont l'animal le plus proche, sur la photo, se contente de nous surveiller du coin de l'oeil... (Pascal)
lundi 12 février 2007
Un élan d'admiration
Dans les guides touristiques, on en parle comme de la "prairie des élans", un lieu où, soi-disant, on peut voir des élans le matin et en fin d'après-midi. Connaissant la timidité de nos cervidés québécois, je m'attendais tout au plus à voir une belle photo sur une pancarte d'information. Or, pas du tout: dimanche après-midi, un jeune élan qui ne semble pas trop farouche; une heure plus tard, peu avant d'arriver à Orick, un adulte en train de brouter à une vingtaine de mètres; et le lendemain matin, entre Orick et Trinidad, tout un troupeau, dont l'animal le plus proche, sur la photo, se contente de nous surveiller du coin de l'oeil... (Pascal)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire