Le bonheur, c’est d’avoir conquis la « terrible » montagne. C’est d’être arrivé à Boston, malgré l’énormité du défi. C’est, au retour en autobus, de revoir les montagnes défiler, et de savoir qu’on les a pédalées.
Le bonheur, c’est dans le dépassement de soi, la persévérance, le fait de se sentir vivant, d’avoir mainmise sur sa vie. C’est de mettre en branle des projets fous et de les accomplir. La liberté, quoi!
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