Le douanier:
Si on a réussi à économiser 10 km, on ne peut malheureusement pas économiser sur la qualité des douaniers. Comme le bitume, ils sont égaux à eux-mêmes. Arrivés au poste frontalier de Champlain, nous nous étions sagement rangés à l’abri de la pluie. Le douanier dans sa guérite nous fait signe d’attendre pendant qu’il s’occupe de l’auto suivante. Celle-ci partie, nous le voyons faire signe d’approcher avec son doigt. David a à peine eu le temps de faire un pas que le douanier lance un retentissant : « I told you to stay back. Stay back. OK? Relax, OK? » . Son signe de doigt s’adressait manifestement à l’auto suivante, mais qui aurait pu s'en douter? Manifestemet, nous ne maîtrisons pas encore le langage non-verbal des douaniers...
Après avoir laissé passer quelques voitures, il vient finalement nous voir, ramasse les passeports, pose quelques questions d’usage puis demande où nous allons. Pascal répond : Burlington. Le douanier rétorque : Why? En voilà un qu’on ne convertira pas de sitôt aux joies du vélo...
Rouses Point:
Avec Félix et ses amis, nous avons quelque fois roulé à partir de Rouses Point, dans l'État de New York, juste de l'autre côté de la frontière. Mais cette fois, nous y avons dîné! Chez Gino, le roi local de la pizza.
On le sait, c’est le pays de la démesure. Mais on a tout de même eu un choc en ouvrant la boîte de la pizza « large » que nous avions commandé pour nous quatre. Grande... comme une roue de vélo!
(bon, Ok, on exagère un peu, mais si peu...)
jeudi 19 juillet 2007
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