Pour dépasser ses limites. Pour se prouver qu’on est capable de les dépasser. Et ce faisant, mieux se connaître.
Pour éprouver la joie de rouler de nuit. Pour éprouver la joie d’un parcours d’endurance... mais sans côtes!
Parce qu’on n’ose pas dépasser des frontières imaginaires et des lignes invisibles.
Parce que Toronto était là, au bout de la route
dimanche 18 mai 2008
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